Fête de la paroisse St-Paul

Un moment de convivialité autour de l'autel... et sous le soleil

Ce dimanche, au cours duquel l'Eglise considère le très estival passage évangélique de Saint Marc, dont les paraboles parlent de la graine qui s'épanouit en blé mûr et de la minuscule graine de moutarde qui devient le plus grand de tous les arbres du jardin, était aussi une occasion joyeuse pour notre communauté paroissiale de Saint Paul.

C'était la fête de la paroisse.

Le festival a débuté officiellement par la messe anticipée à 18h le samedi soir, suivie à 20h15 par le concert de Mme Rose Bacot, dont nous vous proposons un article, ici.

Le dimanche, lors d'une grande messe des familles célébrée dans l'église à 10h30, les enfants, encouragés par Béatrice Bachman, ont chanté un répertoire de musique qui leur était spécialement adapté.

Pour la première fois depuis les restrictions sanitaires engendrées par la pandémie, notre chorale paroissiale s'est jointe aux enfants, sous la direction de Frédéric Monnin. Une musique d'orgue resplendissante a été assurée par Irénée Dupré La Tour.

Après la messe, Rose Bacot, tout juste sortie de son concert du samedi soir, a fait une démonstration de ses clarinettes pour les enfants de la paroisse. Les enfants ont naturellement répondu aux rythmes sautillants et dansants de sa musique traditionnelle d'Europe de l'Est.

Cette animation a été suivi d'un repas canadien dans le jardin derrière l'église, qui a été béni par un beau soleil, une brise fraîche et le chant des nombreux oiseaux qui habitent notre jardin.

Les enfants ont apprécié la musique et l'espace pour courir, mais pour la plupart des paroissiens adultes, c'était l'occasion de s'asseoir autour d'un déjeuner froid, d'un verre de vin blanc et de parler les uns avec les autres dans une atmosphère détendue et conviviale que nous ne pouvons malheureusement pas vivre tous les dimanches.

Après une année pleine de défis et de difficultés, ce fut l'occasion pour la communauté paroissiale de célébrer la fraternité et le soutien mutuel que nous avons pu cultiver même dans une période difficile.

Ce fut une bénédiction pour tous.

Le curé de la paroisse, le frère Michel Fontaine (à droite) avec des paroissiens pendant le repas canadien (photos pour cet article : la rédaction)

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